par Matthieu Giroux
Le GIEC, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, est une organisation politique et scientifique regroupant des néophytes politiciens et ambassadeurs devant valider des rapports d’érudits. À partir de 1989 le GIEC, annonce un cataclysme climatique tous les ans qui aurait dû se produire dix ans après en 1999.
Le cataclysme climatique est finalement largement et de plus en plus médiatisé à partir de l’effondrement de la finance, causant un stress de la population suiviste.
Une partie de la communauté scientifique n’approuvera pas les rapports du GIEC. D’abord incrédule, la communauté scientifique qui étudie à la fois le soleil et la terre s’organisera contre le GIEC.
En France François Gervais sera classé climato-sceptique c’est à dire ne croyant pas au réchauffement de la terre par l’humain, alors qu’il ne remet pas à cause le réchauffement humain mais le minimise. Le GIEC publiera les rapports de François Gervais sans en tenir compte, notamment un rapport disant le CO2 produirait une élévation de 0,2 ° C sous 30 ans, rapport du GIEC remettant en cause le travail du GIEC.
Au final le GIEC aura causé une hécatombe de suicides pour un faux réchauffement de la terre. La caricature médiatique sera en 2023, où les médias asséneront un faux réchauffement alors que le climat se refroidit nettement sur le nord de la France. En effet, la température baisse régulièrement depuis 2017.